


Être attentif aux silences qui parlent et aux mots qui écoutent.
Être attentif aux silences qui parlent et aux mots qui écoutent.
Petit à petit,
le feu s’éteint,
dans la cheminée.
Quelque temps encore
les flammes lui communiquaient,
son ardente chaleur.
Elle a chanté, dansé ,
crié à perdre haleine,
incendiée par cette chaleur extrême.
Le feu a rongé la bûche,
il reste à peine
une braise légère
Malheureusement,
tout s’éteint, tout meure,
ce qui fut et qui n’est plus,
même plus une ombre.
Blottie près des flammes,
elle avait si chaud à l’âme.
petit à petit,
le feu s’éteint,
Elle n’a même plus d’allumette
plus rien, pour rallumer le feu.
Désormais dans la froideur de la nuit,
elle ne recherchera plus,
cette chaleur.
il faut savoir se retirer..
sans amertume,
en chérissant la belle flamme qui fut.
Réchauffer son coeur,
avec les souvenirs,
sans toutefois faire de bruit.
ce texte inspiré
par une amie courageuse,
qui a eu une peine de coeur,
et la vit dans le silence.
sûrement, elle se reconnaîtra.
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